Tous les jours, la peau a besoin de recharger ses cellules… un peu à la manière d’un téléphone ! Partant de ce constat, la recherche Nuxe a identifié trois extraits de fleurs (dont deux inédits) afin de réparer et de protéger l’ADN mitochondrial, au cœur des cellules. Là où se trouve la clé du vieillissement, une nouvelle voie de réflexion pour la recherche cosmétique selon la marque. Fleur de passiflore, Pétales de coquelicot, fleur d’anchuse : de ce bouquet floral, Nuxe a tiré un complexe d’actifs breveté. Il constitue la clé de voûte de Nuxellence Jeunesse, son nouveau fluide anti-âge dont la formule renferme aussi des actifs végétaux antirides et repulpants (pétales de souci, graines d’araucaria, acide hyaluronique, feuilles de galanga), auxquels se combinent des extraits de racine de maca, de feuilles d’olivier et de cacao pour l’éclat.

Nuxellence Jeunesse se loge dans un flacon-pompe de 50 ml (45 euros environ) et s’utilise seul ou sous un autre produit. La marque nourrit de grandes ambitions pour ce soin à la texture «seconde peau» (ce n’est pas un sérum) qu’elle qualifie d’innovation majeure. Et pour cause : l’étude du mécanisme d’action du complexe floral, menée en partenariat avec l’Inserm, fera bientôt l’objet d’une publication scientifique internationale. Une première dans l’histoire de Nuxe. Le lancement de Nuxellence Jeunesse est prévu en mars. Il sera appuyé par une campagne pub à partir de la mi-mars dans la presse, en affichage Decaux et sur internet.
Anne Autret